mardi 20 décembre 2005

mercredi 30 novembre 2005

Bienvenus !!!!

Deux naissances dans mon cercle d'amis : ça fait plaisir !
Alors je souhaite la bienvenue à ces deux petites merveilles que sont Romane (en train de faire dodo avec sa maman) et Liam (déjà cajolé par sa grande soeur)

Bisous les mamans (et les papas aussi d'ailleurs !)

Et ces deux là ?


Elle est pas belle la famille ?


dimanche 27 novembre 2005

C'est maintenant le bonheur !

Voilà trois jours que je suis revenu du concert de Cali à l'Olympia et à vrai dire, je crois que j'y suis encore. En tout cas j'y ai laissé quelques petites choses de moi, c'est certain. De l'énergie, beaucoup d'émotion, d'immenses sourires…

C'est bien simple, aujourd'hui encore je ne saurais résumer ces deux heures trente de bonheur que le Perpignanais nous a offert. Avec un ménisque fracturé, il a pourtant tout donné et j'espère seulement que nos mains qui frappaient encore et encore résonnent toujours dans son coeur. Le matin suivant, hasard ou coïncidence, c’est sa chanson ‘Je m’en vais’ qui me réveillait : ‘J’adore vivre depuis ce matin…’

Et puisque je n'arrive pas à vous en écrire plus sur cette soirée, je vais lui céder la place. Voici des extraits de son blog (que vous pouvez visiter en cliquant sur ce lien)...

Deuxième Olympia.
Tout se déroule parfaitement lors de la balance de l’après-midi et ceci est le présage d’une grande soirée.

(…) La soirée démarre sur les chapeaux de roue jusqu’à « Il y a une question », où je glisse sur de l’eau. Je fais alors discrètement signe à mon régisseur dans les loges, et je vois les pompiers qui se préparent, car je me suis réellement fait mal au genou. Pendant le premier rappel, ils me posent une attelle, j’ai bien du mal à poser le pied par terre. La douleur se dissipe peu à peu, et c’est avec la même joie que le public que j’accueille Vincent Delerm après « C’est toujours le matin ».

(…) Une petite fête est organisée backstage après le concert. Toute ma famille est là : frères et sœurs, cousins, amis d’enfance très proches. Je sens la fierté dans leurs yeux et je réalise le chemin parcouru. Mon genou gauche me tire terriblement, ce qui ne m’empêche pas d’aller boire un verre avec mes proches et toute l’équipe dans un bar du coin.

Troisième Olympia.
Je me réveille rassuré, ma jambe tiendra ce soir. Un ostéopathe doit venir me relaxer avant la montée sur scène. Matthieu Chedid nous rejoint à la balance. Dans l’équipe, larges sourires et fierté de pouvoir jouer avec ce garçon là. Nous jouons, rejouons et rejouons « Pauvre garçon » cet après-midi, par pur plaisir. De leur côté, Aude et Steve ont écrit de nouvelles parties d’alto et de violon. Nous sommes deux heures avant le concert, j’ai trop pris confiance en ma jambe et je décide de la plier pour la tester. Elle craque d’un coup, cette fois la douleur est insoutenable, je ne sais pas si je vais pouvoir assurer le concert. L’ouverture des portes est retardée. L’ostéopathe s’emploie alors à un long travail de relaxation, me manipule, me parle. Si je joue ce soir, ce sera assis ou en béquilles.

Ca y est, il faut monter sur scène. Je décide de faire une annonce au public, mais quand j’arrive, des gens me traitent de menteur… Je ressens un peu de colère et beaucoup d’amusement. Je l’ai bien cherché.

Nous donnons le concert comme prévu, j’essaie de prendre le moins appui possible sur ma jambe gauche. Steve est encore une fois acclamé. L’arrivée de Daniel et Matthieu sur « Pauvre garçon » provoque l’hystérie. C’est tellement bon de voir tous ces gens si heureux. Ce « Pauvre garçon » là restera inoubliable pour moi.

Malgré ma jambe, je profite une dernière fois du public et je me jette sur « Elle m’a dit ». Heureusement que les gars de la sécurité me réceptionnent au balcon. Il s’est passé quelque chose ce soir, je pleure en sortant du concert, mais ce n’est pas de douleur.

Dans les loges, Jane Birkin vient m’embrasser, elle me dit que je lui ai fait penser au Napoléon d’Abel Gans. Richard Kolinka vient nous saluer et la fête peut démarrer. Je ne me couche quand même pas trop tard, car j’ai rendez-vous avec un spécialiste du genou le lendemain.
Mon ménisque est cassé, je dois me faire opérer lundi.

Je remercie vivement toutes les personnes qui nous suivent depuis toujours et qui étaient encore là cette fois-ci à l’Olympia. Je remercie ce public pour ces trois soirs. Au nom de toute l’équipe. Nous avons passé un réel cap et nous sommes prêts à affronter la tête haute la tournée de l’année prochaine.

Je confirme à nouveau que je lis tout, tous vos messages. Je vous embrasse fort. Merci.


MERCI A TOI PLUTOT !!!!

jeudi 24 novembre 2005



Avec Matthieu Chedid



Cali à l'Olympia, 23 novembre 2005


lundi 21 novembre 2005

Soir de dernière...

Voilà, la tournée de Calogero s’est achevée hier au Zénith de Lille. En vérité il lui reste un concert sur l’île de la Réunion jeudi et un dernier Bataclan dans le cadre de ‘Sol en cirque’ mais ces deux dates ne se feront pas avec le même matériel, ni le même set que lors de ce gigantesque voyage à travers la France.

Alors forcément je m’étais juré d’y être. Juste histoire de faire une dernière fête et de profiter encore au maximum de toute l’énergie que dégage Calo et ses musiciens.

Et bien encore une fois ça n’a pas loupé. Après deux heures vingt d’un concert teinté de folie et d’émotion, c’est avec une banane grande comme ça sur le visage que je pouvais quitter le Zénith. Certes le set n’avait pas changé depuis les dernières dates, mais Calogero avait clairement en tête qu’après plus d’un an et demi de labeur, l’heure était à la fête et au ‘lâché de chevaux’.

C’est donc avec une pêche incroyable et une décontraction que je ne lui connaissais pas encore qu’il a enchaîné ses plus grands titres une dernière fois. Chanceux, il nous a même gratifié de quelques inédits histoire de vraiment marquer le coup. Alors MERCI pour ce ‘Jour parfait’ écrit par les fans et improvisé a capela avec la salle entière, MERCI pour ‘Substitute’ des Who joué avec toute l’équipe de la tournée, et MERCI ENCORE pour un dernier ‘Pas un jour ne passe’, titre jamais joué sur scène et que les zicos avaient préparé en surprise pour Calo.

Je me souvenais alors du 8 avril dernier où je me rendais au Zénith de Paris pour aller le voir une première fois en concert. Je me souvenais que j’y allais avant tout en me disant « il parait que c’est bien sur scène… Va te faire ta propre idée… »

J’ai vu et me suis laissé porté tout au long de cinq dates, trois villes… Alors ça peut paraître con, mais pour plein de raisons (que je n’expliquerai pas ici) : MERCI !


Avec toute l'équipe de la tournée pour un dernier boeuf sur Substitute des Who


En apesanteur


Calo en stage-diving sur Le plus beau jour


Le secret


Devant toi


Face à la mer


Tien An Men

Calogero au Zénith de Lille, 20 novembre 2005


Un jour parfait

jeudi 10 novembre 2005

Viiiiiiiens làààààààà !

Calogero 4e (clap !) Et du coup avant-dernière date de la tournée que j’aurais eu l’occasion de voir. Cette fois, c’était à Grenoble que j’avais décidé de me rendre pour le suivre. Et oui, ce concert c’était aussi l’occasion d’une réunion entre Jérômes. Jérômette, JérômeTof et JérômeMarco (pour ceux qui sont paumés, replongez dans les archives du mois de mars) qui eux n’avaient encore jamais vu Calo sur scène.

Cette date, c’était aussi son retour (le dernier donc) dans la ville de son enfance. Alors je m’attendais à une grosse fête… Quelle déception… Son pourri et à priori impossible à régler, chaleur du public pas à la hauteur de celle de la salle, et c’est le cercle vicieux. Bref, un concert sans vrai relief. Lui est toujours aussi bon mais cette fois c'était sans plus. On a même failli toucher le fond sur « Le plus beau jour » quand la fosse – sur laquelle Calogero s’appuie (les pieds sur la barrière de sécurité) pour chanter – a tenté de le happer… La première fois que je voyais une telle hystérie. Résultat, il était bien obligé de remonter sur scène, l’air plutôt soulé…

Enfin ça restera quand une excellente soirée, notamment grâce à la bande des Jérômes. Mention spéciale à JérômeMarco et son désormais cultissime « j’aime bien ça dernière chanson ‘Viiiiiiiens làààààààà !’ c’est ça ? » Non, Yalla ! Mais t’inquiète, il y aura de nouvelles paroles pour la prochaine tournée ;-)

En tout cas, vivement le 20 novembre et le dernier concert de Lille !!!!!

Baci, ciao


Calo flou...


Calo loin...

Calogero au Summum de Grenoble, 9 novembre 2005


Calo de dos...

mercredi 9 novembre 2005

Tiersen envoie tout valser

9 décembre 2003… Voilà la date du dernier concert de Yann Tiersen que j’avais vu, à l’époque c’était à l’Elysée Montmartre. Après six dates en deux ans, j’étais donc resté presque le même temps sans passer la moindre soirée en compagnie de cet immense multi instrumentiste.

Heureusement, j’avais la chance de pouvoir réparer cet écueil en ce 8 novembre. Et bien le moins que l’on puisse dire, c’est que ses envies ont changé entre temps. Après un album au titre prémonitoire (« Les retrouvailles ») dans lequel il revenait à ses premiers amours (enregistrement en Bretagne, douces mélodies…), c’est un show très rock qu’il a offert au public du Grand Rex. C’est bien simple, il n’a que très rarement lâché sa guitare électrique pour le violon, l’accordéon ou le piano.

Alors en sortant, on est forcément un peu dérouté d’avoir entendu même la mignonne Amélie cesser de valser pour presque pogoter. Mais là encore, cela n’enlève rien à son talent. Au contraire même. Toujours plus pointue, sa musique ne laisse personne indifférent. En revanche, si de sa part vous ne connaissez que la BO du célèbre film de Jeunet, oubliez très vite l’idée de le voir sur scène.

Tiersen aujourd’hui : on aime ou on déteste. Des morceaux (d’une dizaine de minutes) où chaque instrument joue une partition différente et déstructurée… Tout ou presque a été réorchestré de la sorte. Et moi j’ai A-DO-RE !!!! Après, je ne peux pas trop vous en dire plus, une telle musique ne se raconte pas, elle se vit.

Bon je vous laisse, Calogero m’attend… à Grenoble cette fois.

Baci, ciao !


Au violon


Avec Jane Birkin


Avec Christophe Miossec (à gauche) et Dominique A (à droite)


Yann Tiersen à l'accordéon

Yann Tiersen au Grand Rex, 8 novembre 2005


dimanche 6 novembre 2005

Bon anniversaire

Encore une histoire
A écouter seul avec soi
Pour ne pas laisser la vérité se faire avoir
Encore un sourire acidulé qui survivra
Aux cicatrices si mal refermées
Cachées au fond de moi

Je sais comment oublier
Tous les chemins sans espoir

Encore des mensonges
Pour oublier nos idées noires
Et l'ascension des amours brûlés vers l'au-delà
Encore une image à effacer de son miroir
D'un seul geste, d'un seul regard tourné
Tourné vers autre part

Je sais comment on fait
Pour se raconter des histoires
Oh oui je sais je sais comment on fait
Pour se noyer de désespoir !

Le mal est fait
Silencieux il reste en moi
Je ne le regarde pas
Je garderai le secret
Je garderai le secret
Quelque part au fond de moi
Où personne ne peut l'apercevoir
Je garderai le secret
Je garderai le secret

Encore un sourire à effacer
De la mémoire
Un regard qu'il faudra éviter
Tellement de fois
Combien de caresses à arracher
Au souvenir si présent
De nos corps encore mêlés
Au souffle de nos voix

Je sais comment on fait
Pour se raconter des histoires
Oh oui je sais je sais comment on fait
Pour se noyer de désespoir !

Le mal est fait
Silencieux il reste en moi
Je ne le regarde pas
Je garderai le secret
Je garderai le secret
Quelque part au fond de moi
Où personne ne peut l'apercevoir
Je garderai le secret
Je garderai le secret

Le survivant ne dit jamais
Les secrets qui l'abritent des courants
Il fait semblant de ne pas se douter du danger
Quand il le pressent.

vendredi 4 novembre 2005

Plus que 2…

Ce soir c’était pour moi la troisième fois que je voyais Calogero dans sa tournée qui dure depuis 113 dates (9e Zénith de Paris ce soir) et s’achèvera le 20 novembre prochain. Et cette date est pour le moment de loin la meilleure...

Que vous dire si ce n'est que Calo avait une pêche extraordinaire. On sentait bien qu'il avait décidé de faire une dernière fête parisienne. Et ça vraiment été une fête... La présence de Passi pour chanter Face à la mer, celle de Zazie pour chanter Devant toi... c'est des souvenirs plein la tête que je viens de rentrer chez moi. Et je ne suis pas le seul, n’est-ce pas ? ;-)

Alors encore un grand bravo et un immense MERCI à cet excellent artiste. C’est une dose énorme d‘énergies qu’il donne à chaque fois et à choisir… je prends tout !

Et ce n’est pas fini, rendez-vous le 9 à Grenoble, puis le 20 à Lille

Ah quelle pêche !

Alors hier c’était au tour de Dionysos… A vrai dire, le Grilou et moi ne savions pas trop à quoi nous attendre. Certes ce toujours très informé On, nous avait dit que c’était énorme en concert, mais pour être tout à fait honnête, nous ne connaissions pas grand chose d’eux. J’avais bien un album au fond de ma discothèque. Mais au moment de le ressortir pour me replonger dans l’univers, force est de constater que la poussière avait pris le dessus.

Un souffle et c’est Haïku (1999) qui apparaît. « Quand j’étais petit, j’étais un Jedi »… Ça peut paraître con, mais voilà à peu prêt tout ce que j’avais retenu de l’univers Dionysos. Une binche ingurgitée et nous voici donc, quelques jours plus tard, dans ce magnifique théâtre qu’est la Cigale.

Je vous passerai là un debrief des premières parties et intermèdes. Comme dirait le Grilou : « Eux ils trouvent qu’il y a beaucoup trop de voitures à Paris… » C’est sympa les Inrocks (sponsor de la soirée) mais ça vous attire quand même tout ce qui se fait de plus Bobo dans la capitale.

Bref, allons à l’essentiel. Une maxime que Mathias, Babeth et toute la bande avaient décidé de faire leur en ce frais soir de novembre. A la question : est-ce un parquet en bois qui recouvre les sièges de ce théâtre en version concert ? La réponse fut sans appel dès les premiers accords… Un vieillard mal informé et quelque peu faiblard sur ses cannes se serait déjà retrouvé les quatre fers en l’air. Ça saute, ça se bouscule, ça hurle… Sous ce doux nom de Dionysos, ce cache en fait un put*** de groupe de punk. Enfin ranger cette joyeuse bande dans une catégorie serait sans doute réducteur. Dionysos, finalement c’est Dionysos !

Une patate incroyable, des textes plutôt drôles, les hurlements ou vocalises de Mathias, le violon et la voix fluette de la très jolie Babeth. Mais aussi l’attraction du concert avec les concours de stage diving du ptit bonhomme frontman qu’est Mathias. Pour ceux qui ne connaîtraient pas, le stage diving c’est littéralement du plongeon depuis la scène. A la manière d’un Kurt Cobain sans héroïne, celui qui croit toujours que « When (he) was a child, (he) was a Jedi » se jette et se fait porter par la foule. Je pense bien qu’il a profité de cette escale parisienne pour battre le record du monde de la discipline. Transporté sur toute la longueur de la fosse, Mathias a alors demandé à plusieurs personnes du balcon de l’attraper par les bras pour le hisser jusqu’en haut. Une petite balade en équilibre sur la rambarde et le voilà qui demande à la fosse de bien vouloir accueillir sa redescente. Un grand, grand malade !

Alors malgré un set assez court (1h15), on peut dire qu’on en a pris plein les yeux et les oreilles ! Dommage que toutes leurs prochaines dates parisiennes soient complètes…

mercredi 2 novembre 2005

« Sur la route… »

Et voilà la tournée des concerts qui redémarrent. Après quelques jours de repos post Brad Mehldau et Dream Theater, c’est l’Olympia qui allait être le théâtre de mon ‘retour’ dans les salles de spectacle. Face à qui me direz-vous ? Accrochez-vous mesdemoiselles… Raphael !

Et c’est dans un état de très agréable surprise que j’écris donc ces quelques lignes. J’avais entendu que ce garçon était loin d’être une bête de scène. Limite même que l’on s’ennuyait ferme pendant ses concerts… Et bien je m’inscris en faux ! J’ai passé une excellente soirée ‘en sa compagnie’ dans cette si jolie enceinte du boulevard des Capucines.

Certes ce n’est pas lui qui va sauter dans tous les coins et attirer la foule dans l’hystérie collective, mais il démontre une présence certaine. Et puis que dire de ses mélodies, de ses textes, de sa voix… Vous ne pouvez vous empêcher de sortir de la salle avec la banane au visage. Vous ne savez pourquoi mais c’est ainsi. Bref, voilà la confirmation d’un talent en or et je ne saurais que trop vous conseiller d’aller le voir si vous en avez l’occasion.

Allez je vous laisse, d’autres artistes (Dionysos, Calogero, Yann Tiersen, Calogero… Calogero) m’attendent.

Baci, ciao !

mercredi 26 octobre 2005

Dodo Grilou


Dodo Séb


Ça se voit vraiment qu'on a bu ?


Nawak Grilou 2


Nawak Séb 2


Nawak Grilou 1


Nawak Séb 1


Puis nous voilà en soirée Erasmus... et sa vodka-violette


On fait connaissance... Mon grand ami chnrodiste Francis...


Et c'est parti pour le contest : "Mètres de vodka-malabar"...


Ça commence gentiment dans un pub tout ce qu'il y a de plus classique


Le retour (2)

Et oui, une nouvelle fois je me suis laissé débordé par le temps et n’ai pas updaté mon blog depuis un bail… Je sais, très peu de personnes le lisent mais bon, quitte à en avoir un, autant donner des news dessus.

Alors me voilà pris d’une envie de changement. A quelques exceptions près, j’ai décidé désormais de faire court, mais souvent. Je ne me perdrai plus dans d’immenses textes, mais essaierai d’en mettre une petit peu, (presque) chaque jour. C’est aussi le principe d’un blog : ne pas forcément mettre les plus grands événements, les plus intéressants, mais bien le quotidien. Et mine de rien, c’est déjà pas mal !

En attendant, voici en quelques clichés comment une soirée lilloise avec mon bon Grilou peut assez mal tourner…

Replaçons la dans son contexte : énorme concert de Dream Theater, kebab assez dégueu englouti à l’arrache puis départ vers le quartier étudiant de Lille. Le reste se passe d’explications…

lundi 3 octobre 2005

La nuit blanche qui tourne au vert...

Si pour vous le premier samedi du mois d’octobre rime avec film diffusé en troisième partie de soirée sur une célèbre chaîne cryptée, c’est que vous n’habitez pas à Paris, que vous ne vous intéressez qu’à un certain type d’art, ou que vous n’avez pas de magnétoscope ;-) Pour les autres, et ce depuis trois ans, cela rime avec « La nuit blanche ». L’occasion de découvrir au beau milieu de Paris d’intéressantes (ou intrigantes) installations artistiques.

L’occasion aussi de se faire une balade nocturne entre amis. Quelques guiches ou tortilla (merci Saray !) avalées, quelques bouteilles vidées (trois à six : petit score). Et nous voilà partis pour Belleville et le parcours Ménilmontant – Point éphémère. Bref, tout autour de chez wam. Sauf que pour rejoindre Ménilmuch’, il nous fallait prendre le métro. Et c’est là que le blanc commence à tourner au vert…

Grand délinquant devant l’éternel, cette ptite tarlouze de Nico décide de ne pas payer. Merci la RATP : soir de grands rassemblements = contrôleurs. ‘Ah les encu… !’ Et voilà l’ami Nico bon pour 40 euros, le tout pour un ticket valable 2 heures. Sympa, ils ont laissé le choix entre cette formule ou le contrôle d’identité devant la police et une jolie facture de 275 euros… Enfin même à 40, tu as intérêt à aller loin. Un peu comme nous et nos trois stations.

Et là commence le parcours. Ça démarre pas trop mal avec un film, dont les personnages avançaient au rythme des chants et bruit du public. On aime ou on trouve ça con. Moi j’adore. Idem pour les tonnes de fripes rassemblées en haut de Jean-Pierre Timbaud (la rue, pas lui le pauvre) et utilisées pour un défilé de passants inconnus. Pas la peine de chercher à expliquer, l’art ça se vit ou non.

Petit détour par le quartier Saint-Marthe. Je suis au plus près de chez moi et je me sens bien. Et là c’est l’occasion de découvrir la meilleure (selon moi et je pense beaucoup d’autres) installation. ‘Julius Popp développe un dispositif technologique inédit par lequel une chute d’eau devient un écran liquide ; chaque goutte d’eau est un pixel qui tombe. On voit alors surgir textes et images par la magie des gouttes assemblées’. Oui je sais c’est bien écrit. C’est normal ça vient du livret de ‘La nuit blanche’. Pour ceux qui veulent en savoir plus : http://www.paris-art.com/artiste_detail-2332.html ou qui parlent allemand http://www.sphericalrobots.com/

Pour la petite histoire, il fallait passer sous l’eau pour continuer le parcours… Teubé que je suis, je suis passé à contre temps et me suis donc retrouvé bien mouillé. Coup de chapeau aux filles et à Looping qui sont parfaitement passés entre les gouttes. Je sais elle est facile mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

Sur la place Saint-Marthe même, c’était le tournage d’un film de Nicolas Boone dont le principe est de ne faire jouer que des figurants. Le but n’est autre que de témoigner d’un événement, rien de plus. A voir en tout cas.

Ce qui n’est pas tout à fait le cas du reste… Hormis la promenade boulevard de la Villette où s’enchaînaient des noms, des titres de films, de livres, des événements… Sympa mais un peu court. En revanche la fin du parcours ne méritait même pas que l’on si attarde. Je n’ai même pas envie d’en parler tellement elle ma laissé un goût amer dans la bouche.

Et c’était le moment de se quitter, et pour la ptite tarlouze de se faire sa ptite nuit blanche à lui tout seul ;-) Impossible de trouver un bus pour rentrer à Boulogne, aucun taxi dispo et la jolie marche de Répu à Montparnasse… Oubli du rasage, trois tonnes de maquillage à l’antenne le lendemain matin… Bref, la bonne gueule ! Allez, sans rancune ;-)

Et vive ‘La nuit blanche’ ! Quoi qu’il ne faut pas se plaindre, on n’a pas pris de coup de poignard ;-)

jeudi 11 août 2005

Bonjour c'est le plombier... Je viens pour réparer la grosse fuite...


Message personnel (2)

Tu peux venir te poser sur moi
Je ne veux rien t'imposer
Reste aussi longtemps que tu voudras
Si le voyage à mes côtés
Peut simplement te garder
Aussi libre que moi
Aussi libre que moi
Aussi libre qu'on soit
Si tu es comme je crois
Aussi libre que moi

N'ai pas à craindre de bouleverser
Ce qui pourrait arriver
Je te laisserai sur ma peau
Te tatouer
À mon anneau t'accrocher
Et sans barreau te garder
Aussi libre que moi
Aussi libre que moi
Aussi libre qu'on soit
Si tu es comme je crois
Aussi libre que moi

Ne résiste pas à cette envie
Viens contre tout, contre moi
T'engager comme avec toi je le suis
Sans garde fou et rester
J'ai fais le voeux de te garder
Aussi libre que moi
Si tu es comme je crois
Aussi libre que moi
Aussi libre que moi
Aussi libre que moi
Aussi libre qu'on soit

Si tu es comme je crois
Aussi libre que moi
Aussi libre que moi...

Pour ceux qui n'arrivent pas à imaginer des vacances à Paris ;-)

Entre gris et graffitis
Où s'enferme le quotidien
Et des murs tellement petits
Qu'on entend tout des voisins
Avec pour seul vis-à-vis
Des montagnes de parpaings
Où déambule l'ennui
Et se traînent des destins
Le samedi après-midi
Prendre des souterrains
Aller voir où ça vit
De l'autre côté... ligne 1

Châtelet
Châtelet les Halles
Station balnéaire
Mais où y a pas la mer

Comme de banlieue la plage
Voir un peu de bleu
Échouer sa galère
Marquer son passage
Suivre les taggs
Quand y a plus de repères
Châtelet : la fin du voyage

C'est pas ici Tahiti
Mais c'est toujours mieux que rien
Les baskets sur le parvis
Ne vont jamais très loin
On y piétine les débris
Et les abris clandestins
Éprouvant même du mépris
A ceux qui tendent la main
De Harlem à Paris
S'engouffrer dans un train
Puis un couloir qu'on suit
Ne pas aller plus loin... ligne 1

Châtelet
Châtelet les Halles
Station balnéaire
Mais où y a pas la mer

Voir un peu de bleu
Châtelet
Échouer sa galère
Marquer son passage
Suivre les taggs
Quand y a plus de repères
Châtelet : la fin du voyage
La fin du voyage
La fin du voyage...

Et oui, ça faisait longtemps…

Un mois et demi sans nouvelle, ça commence à faire long. Bon alors j’admets que lorsqu’il s’agit des miennes, ça parait effectivement plus court. Mais je sentais que vous vouliez en savoir plus sur ma vie trépidante – n’est-ce pas Spoonie ;-).

Alors voilà, disons que depuis le retour de l’Allemagne le 1er juillet, je suis assez en roue libre. En dehors d’une dizaine de jours où tout le monde a commencé à partir en vacances, et où il a donc fallu tout gérer tout seul, l’actualité footbalistique est plus que très calme. Alors j’en profite pour… justement profiter !

Résultat : j’ai dû passer moins d’une dizaine de soirées chez moi, à coller devant la télé. La palme pour les 2 ou 3 piques-niques (et oui, il a fait dans l’ensemble un temps de merde sur Paris cet été) au Champ de mars ou au parc André Citroën – qui se finit à la maison (pluie oblige) –, les dîners dans le Marais, les balades sur Paris-plages, les brunchs, un mariage, un 14 juillet, une soirée au P-P ;-)… Merci à toutes celles et tous ceux qui se reconnaissent dans ces moments passés ensemble. Sincèrement, je les oublierai sans doute pas…

Et puis depuis une dizaine de jours je suis en vacances. Ouais je sais, les vacances à Paname ça ne fait pas rêver grand monde. Mais comme j’ai décidé de passer dans le monde des propriétaires, je me suis dit que rester à Paris n’était finalement pas une si mauvaise chose. C’est clair que ce n’est pas une super période pour l’immobilier mais les quelques apparts que j’ai déjà visité me donnent une idée bien claire de ce que je ne veux absolument pas. Reste maintenant à trouver le chez-moi de mes rêves. Ça viendra, ne désespérons pas.

Dans le même temps, le PSG démarre en trombe sa saison et ça fait plutôt très plaisir. Des victoires, des buts, du spectacle… Que demander de plus ? Que ça dure bien évidemment, et c’est d’ailleurs souvent là que ça pêche du côté des Rouge et Bleu.

Bon, sur ces bonnes paroles je vais vous laisser. Je peux déjà vous annoncer pas mal de grands évènements à venir et qui seront bien sûr racontés ici. Certains resteront pour l’heure secrets ;-) mais je peux déjà vous proposer niveau concerts : Brad Meldhau, Dream Theater, Freak Kitchen, Raphael, Calogero, Yann Tiersen, Calogero (oui je sais…), Cali, Calogero (bon là je ne paye pas…), et Depeche Mode (mais là on a de la marge, c’est pour février 2006).

Alors à très vite…
Baci, ciao !

mardi 21 juin 2005

Quelques heures (et Smirnoff ice) plus tard... le rêve s'effondre


Nuit du 17 au 18 juin 2005, Francfort

Une équipe de rêve !


17 juin 2005, Francfort

Les Frenchies et la Coupe du Monde... Promis, j'étais réveillé ;-)


15 juin 2005, Francfort

Calogero, deuxième


5 juin 2005, Orléans

Anniversaire d'Iballa


Lundi 30 mai 2005, Paris

La Favela Chic... à 3 grammes


Nuit du 21 au 22 mai 2005, Paris

Alors forcément, il faut fêter ça...


Nuit du 15 au 16 mai 2005, Rio de Janeiro

And the winner is... FRANCE !!!!!


15 mai 2005, Rio de Janeiro

Le retour

Plus d’un mois après mon dernier message, me voilà (enfin) de retour sur la toile… Désolé pour ce retard mais le boulot ne m’a jamais vraiment lâché depuis ce 13 mai. Et d’ailleurs il ne me laisse toujours pas tranquille puisque c’est depuis mon bureau de Leipzig que je vous transmets ces quelques mots.

Depuis tout ce temps, voilà en pagaille quelques éléments de ma vie : la fin de Rio a tout simplement été extraordinaire avec en prime la victoire de la France ! ; je n’ai pas vu la lumière du jour pendant les trois semaines suivantes pour préparer la merveilleuse Coupe des Confédérations… ; je me suis fait shooté par une caisse en sortant d’une interview avec Raymond Domenech ; après un aller-retour Francfort-Cologne pour Argentine vs Tunisie, me voici à Leipzig pour Australie vs Tunisie. Et je vivrai cet extraordinaire évènement jusqu’à mon retour à Paris le 1er juillet. Allez, j’ai assez fait la pub de la Coupe des Confed maintenant, regardez la svp !

Alors quoi de mieux dans ces cas-là qu’un album photos ? En quelques clichés, revivez un mois de ma trépidante vie. Bon Ok j’en fais encore de trop là !

Enjoy !

vendredi 13 mai 2005

Où est Charly ?


La plus petite délégation FIFA de l'histoire... mais on se marre bien quand même !

On a gagné !

Et oui l’équipe de la FIFA progresse de jour en jour dans sa pratique du beach soccer, et la voici enfin détentrice de sa première victoire dans la discipline. Après seulement trois matches, ce n’est pas trop mal. Si la compétition avait duré plus longtemps, peut-être aurions nous fini par pouvoir battre le Brésil ou la France ;-)

Mais avant ce match, j’avais déjà mis à profit le jour de repos qui nous était donné pour interviewer l’entraîneur japonais. Il faut savoir que pour sa première participation à une grande compétition de beach soccer, le Japon jouera demain contre la France en demi-finales. Aucune chance normalement mais la performance est belle.

Mais lorsque l’on voit leur entraîneur, on comprend mieux le pourquoi de cette surprise. Si vous le croisiez dans la rue, je pense que vous imagineriez qu’il est le gourou d’une obscure secte. Grand, fin, les cheveux longs bouclés… Et lorsque vous parlez cinq minutes avec lui, vous comprenez vite qu’il a un sans doute un don pour motiver ses troupes. Intelligent, intéressant, et à la fois mystique, Rui Ramos détient la clé du succès. Il faut dire que lorsque l’on est né Brésilien, puis que l’on a vécu dès ses 20 ans au Japon avant de prendre la nationalité, on en a des choses à raconter. Bref, encore un bon moment passé en bossant.

Quelques pâtes avalées en vitesse et l’heure du match était venue. Cette fois, nous jouions à 16h45, ce qui est bien différent qu’à 19h00. Sous 30°– remarquez il fait encore 23° à 19h00 –, courir dans le sable est un véritable calvaire. Et c’est là que nous avons été forts. En dosant nos efforts, nous sommes devenus meilleurs au fil des minutes. Alors certes nous étions menés 0-3 à la fin du premier tiers-temps, mais jamais nous n’avons baissé les bras.

Finalement, nous sommes revenus à 3-3 juste à la fin du second tiers. Mais dès l’entame de la dernière période, nous devions concéder et encaisser un penalty. Peu importe, nous cravachons, revenons à égalité puis l’emportons dans les derniers instants en inscrivant deux buts. Une belle victoire 6-4 donc, qui a ravi le Secrétaire Général de la FIFA présent au bord du terrain.

Pour ce qui est de mon cas personnel : intraitable en défense (ceux qui m’ont déjà vu jouer vont sans doute halluciner…), réaliste en attaque (passeur décisif sur quatre des six buts), je n’avais pas aussi bien joué depuis trèèèèèèèèèèèèèès longtemps. Seule petite faute note : une volée du droit qui est venue s’écraser sur le poteau. L’action a tout de même était saluée par nos adversaires :-))))))))))))))

Bon, c’est pas tout ça de raconter sa vie, mais faut aussi en profiter. Je vous laisse, je vais faire un tour sur Copacabana.

La bise

jeudi 12 mai 2005

Le Maracana


La statue du christ rédempteur


Un peu de repos… ou presque

Aujourd’hui, aucun match n’était au programme. Après la fin du premier tour hier, les quarts de finale se disputeront jeudi soir, ce qui nous a permis de souffler un peu.

En fait, tout avait commencé la veille par un dîner organisé en l’honneur des joueurs et auquel nous avions été conviés. Le temps de finir le boulot et me voici parti pour le Parcao, magnifique restaurant situé au bout de la baie de Flamengo. Là, bouffe traditionnelle brésilienne à savoir salades diverses, brochettes de viandes grillées que l’on vient te couper dans ton assiette, banane frites… Bref, un vrai délice.

Et puis le Dj commence à pousser un peu la musique. Un dance-floor s’improvise alors en bord de mer. La plupart des délégations sont déjà parties, seules restent l’Espagne – passionnée par le debrief’ de leur coach et de leur capitaine – et la France. Anthony Mendy et le doc français se lancent alors dans un remake de ‘Saturday night fever’. Puis c’est au tour de la femme de Jo. Cantona d’entrer dans la danse, de Jean-Marie Aubry, timidement Jair Cardoso prouve à tout le monde ses origines brésiliennes. Plus loin Didier Samoun se moque copieusement de Jo. Cantona, assis et tentant de battre la mesure de sa main droite – le sens du rythme n’est pas son fort. Puis il me demande de l’accompagner sur la piste, juste histoire de ne pas se lever tout seul.

Bref, je me suis bien éclaté avec les frenchies et quelques autres personnes de l’organisation. Bizarre mais malgré la musique à bloc et tout en dansant, c’est le moment où j’en ai appris le plus sur toutes les personnes avec lesquelles je bosse depuis déjà quelques jours. En tout cas le ‘faisage de connaissances’ est très sympathique…

Couché 3 heures, levé 10h30, on a connu pire sur un évènement FIFA. Mais les jours de repos sont aussi là pour ça. Alors on bosse un peu, on prend quelques graisses et le temps est venu de profiter un peu du fait d’être à Rio de Janeiro. Direction le Corcovado pour une dizaine d’entre nous. Pour ceux qui ne connaissent pas, ce fameux Corcovado est le mont surplombant toute la ville, et au sommet duquel est installé le si célèbre Christ Rédempteur.

De là-bas, la vue est imprenable sur tout Rio et dieu sait – désolé pour le jeu de mot un peu nase – que la cité est immense. Par chance il fait un temps magnifique et nous pouvons bien en profiter. Cette statue est de fait absolument hallucinante. Des dizaines de mètres de haut, encore plus de large… Cela vous laisse sans voix.

Le groupe se scinde alors. Le temps de rentrer à 6 dans une berline – sacrément drôle… mais douloureux –, d’être à deux doigts de vomir à cause des velléités de notre chauffeur, et une demi-heure plus tard nous voilà au Maracana, mythique stade de foot s’il en est.

A l’époque où les mesures de sécurité n’étaient pas celles d’aujourd’hui, on pouvait entasser jusqu’à 200.000 personnes dans cette enceinte. Pour vous donner une idée, le stade de France a une capacité de 80.000 spectateurs. Mais sincèrement, ce n’est pas l’impression que cela vous donne quand vous êtes sur le terrain. La distance est si grande entre la pelouse et les tribunes que tout vous semble ramassé. En revanche, rien à redire sur les vestiaires et tous le reste du stade. Il vous en viendrait presque la chair de poule. Tous les plus grands, à commencer par le seul et unique Pelé, ont évolué sur cette pelouse. Mais après seulement quelques minutes passées au stade, le temps est venu de renter à l’hôtel. Le beach soccer nous appelle.

Encore une fois nous jouons contre l’équipe des organisateurs. Et l’on peut dire que nous avons vite appris. Bien organisés en défense et réalistes à l’avant, nous arrachons le match nul 6-6, trois jours à peine après avoir subi défaite sur déroute. A mettre à mon actif, un coup-franc et une frappe amenant deux de nos buts, un lob adverse dégagé in-extremis sur la ligne – je promets, elle n’était pas entrée. En revanche, mon pied gauche a flanché lors de la séance de tirs au but et ma frappe est allée se loger un bon mètre au-dessus de la lucarne… Mais comme la fatidique séance s’est elle-aussi terminée sur un nul – je sais normalement ce n’est pas possible mais nous avions décidé que tout le monde tirerait – nous jouerons la revanche vendredi.

Demain, le devoir nous rappellera avec d’alléchants quarts de finale. La France sera opposée à l’Espagne. Un match difficile mais à la portée de nos Bleus. Mais le clou de la soirée sera le duel entre les plus grands ennemis d’Amérique du sud, le Brésil et l’Argentine. Quand on sait qu’il y a deux jours, il a fallu faire intervenir la police pour évacuer les spectateurs qui, n’ayant pas pu acheter de tickets – stade complet –, tentaient d’escalader le stade… Je n’ose imaginer l’ambiance qu’il va y avoir.

Sur ce je vous laisse car ceux qui auront lu ce message jusqu’on bout on dû déjà prendre pas mal de retard dans leur boulot ;-)

A très vite

mardi 10 mai 2005

The King and me


Thx Lee !