mercredi 20 décembre 2006

vendredi 10 novembre 2006


Les gestes sont laids mais la photo est belle...

La vidéo

A vomir…

Moi qui me faisait une joie de retrouver l’Argentine de Pollo en demi-finale de cette Coupe du monde de beach, c’est finalement l’Uruguay que la France affrontera ce samedi matin (9h30, heure locale). Depuis le début de la compétition, je ne cessais de crier à qui veut l’entendre que je hais cette équipe. Mais mon aversion pour ces Uruguayens ne peut aujourd’hui qu’être plus forte.

Loin de moi l’envie de pardonner – et encore moins d’excuser – les Argentins pour leur comportement à la fin de ce quart de finale (voir plus loin), mais le manque de fair-play de l’Uruguay et notamment de son numéro 8, Miguel, fait peine à voir.

Replaçons les faits dans leur contexte. D’abord rappelons qu’au Brésil, on déteste l’Argentine. C’est donc dans une ambiance détestable que le coup d’envoi avait été donné…

36 minutes plus tard, il reste 35 secondes à jouer dans ce quart de finale, l’Argentine mène 1:0, quand son gardien reçoit du sable dans les yeux après un duel avec un attaquant uruguayen. L’arbitre arrête la rencontre pour que le portier se nettoie, puis ordonne une balle à terre à l’issue de laquelle ce fameux numéro 8 uruguayen doit rendre le ballon aux Argentins.

Sauf que cet enc*** frappe et trouve le poteau. La balle repart, le gardien argentin se jette dessus… en dehors de sa surface de réparation. Coup franc à six mètres pour l’Uruguayen, à 30 secondes du terme. But uruguayen, scènes de joie provocatrices et démesurées. La tension monte encore d’un cran.

Le match reprend son cours, l’Argentine parvient à contenir les assauts de leurs opposants et l’on se dirige vers la prolongation. Mais à 2 secondes du terme, l’arbitre siffle un coup franc lointain pour l’Uruguay pour une faute assez peu évidente. Le bruit du public est assourdissant, les Argentins protestent… Peu importe.

Le coup franc est tiré par Miguel - toujours lui - touche le sable et vient lober le pauvre gardien de but argentin. Le banc de touche uruguayen explose et provoque encore plus ses homologues sud-américains.

La suite, elle est au-dessus et n’est pas belle à voir… Âmes sensibles s’abstenir !

Toujours est-il que si l’on ne peut expliquer le comportement des Argentins (autrement que par la frustration d’une élimination), on ne peut pas non plus accepter le comportement antisportif de ce Miguel.

Aujourd’hui, plus encore que si l’Uruguay avait gagné à la régulière, je n’ai qu’une envie : que la France écrase cette ignoble équipe demain en demi-finale. Et je peux vous assurer que Pollo se sent bien Français lui aussi ;-)

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

mercredi 8 novembre 2006


Soooooo gay !


L'Espagne et sa vedette Amarelle sont éliminés...

Décidemment…

… cette Coupe du monde de beach me rappelle un autre événement de sport mondial qui a eu lieu il n’y a pas si longtemps… Hier encore plus que d’habitude.

Au-delà de la qualification des Français pour les quarts de finale (où ils affronteront le Japon jeudi), ce mardi était plutôt venteux sur Copacabana. Un vent digne de la Pointe du Raz qui a nécessité la fermeture d’une tribune du stade pendant quelques heures ''pour raisons de sécurité''. Sauf que comme au bon vieux temps du SMC de Berlin, les seuls à bosser dans cet endroit évacué, et bien c’est Pollo et moi.

Grosse flippe pendant de longues minutes avec l’énorme structure en ferraille, qui tangue et balance au-dessus de nos têtes, difficile de bosser dans ces conditions. Encore plus pour une compet de beach puisque au-delà de l’écran du portable qui bouge dans tous les sens, on prend du sable plein la gueule. Après le premier tiers-temps du deuxième match, me v’là le dos bloqué, genre de torticoli… Super la journée ! J’espère juste que ces points communs avec Germany 2006 n’iront pas jusqu’à une défaite aux tirs au but en finale de la France. Déjà une chose est certaine, ce ne sera pas contre l’Italie puisque les bô gosses ont déjà été piteusement éliminés…

Je vous rassure aujourd’hui tout va mieux. Le temps n’est toujours pas génial mais au moins c’est une journée de repos. Au programme, rendez-vous avec l’osthéo des Bleus pour mon dos (ps : merci Eric, t’es un chef !) et un peu de shopping pour cette fin d’après-m’. Ce soir, barbecue sur la plage histoire de décompresser un peu plus. C’est la dernière ligne droite !!!!

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

lundi 6 novembre 2006


A la fin de Îles Salomon - Portugal (2:14). No comment...

C’était pour dire heuuuu rien du tout…

Juste un passage rapide après une très ensoleillée journée. Ma gueule me brûle vous ne pouvez pas imaginer. Ok, j’arrête de me plaindre :-( Mais j’ai mal bordel !

La soirée d’hier a été vraiment cool. Nous sommes juste allés dans un pub qu’un vendeur de journaux nous avait gentiment indiqué. Mais rien que de lui demander de nous indiquer un endroit sympa, nous a permis de prendre encore plus conscience de ce qu’est Rio. ‘Vous voulez allé voir des putes ?’ – ‘Heu non, ça ira merci !’ – ‘Viens José stp ! Ils veulent aller dans un endroit sympa pour boire un verre. Mais No puta ! No puta !’ Et oui, Rio c’est aussi le paradis des vieux qui n’ont plus qu’à payer pour pouvoir encore profiter du ptit bout de chair qui pendouille sous leur bide…

Pour nous ça va, nous sommes encore en pleine de force de l’âge ;-) Alors un pub est suffisant. L’occasion justement d’échanger nos points de vue sur les hommes, les femmes, la fidélité, l’amitié entre filles et garçons… Bref une bonne discussion sérieuse. Forcément autour de bières et de caïpirinhas c’est encore plus intéressant.

Bon c’est pas que j’m’ennuie mais j’vais me rentrer. Il fait trop chaud sous la tente ;-)

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

dimanche 5 novembre 2006


Et les Bleus sont déjà en quarts de finale !


Faites votre choix !


Une caïpirinha parmi quelques autres ;-)


Première Marseillaise. Oui je suis patriote !

Premières aventures nocturnes

Me voilà de retour après quelques heures d’absence sur la toile. Je vous ai manqué hein ? ;-) Plus sérieusement, la journée d’hier a été si merdique que je ne me voyais vraiment pas écrire quoi que ce soit sur ce blog. Pluie dans la gueule, ordi qui plante, connection qui rame… C’est bien simple j’ai quitté le bureau à 20 heures et à 22h30 j’étais déjà au lit. A oublier !

Pas comme la nuit précédente où nous sommes donc sortis pour la première fois. Mon collègue Pollo m’a présenté un de ces potes de Buenos Aires qui est à Rio en ce moment. Le gars à vécu quelques mois ici alors les endroits pour faire la fête, il connaît ! Rendez-vous est pris dans un premier bar, un genre de bar à tapas, mais à la Brésilienne. En résumé, l’ambiance y est encore plus chaude que du côté de la péninsule ibérique. Forcément, tout Argentin qu’il est, le garçon a déjà fait connaissance avec une immense table remplie de locaux, de sud-am et même de quelques Anglais. L’ambiance est super sympa, le bruit y est assourdissant et les premiers couples se forment ;-)

C’est le moment que nous choisissons pour – non sans s’être auparavant délectés de quelques Caïpirinhas – quitter le lieu et partir vers LE quartier de la fête à Rio : Lapa.

Le choc ! Imaginez comme un terrain vague, trois-quatre maisons délabrées, une forte odeur de saucisse et un brouhaha capable de donner mal au crâne à un sourd. Alors on aime ou pas. Moi j’avoue que je n’ai pas super accroché. D’autant que pour entrer dans une boîte, faut faire la queue 35 mins… Je ne suis plus habitué à tout ça ;-) D’ailleurs Pollo aussi était déçu…

En revanche une fois entré dans la boîte de nuit, là c’est le top ! Samba jouée en live, regards enjoués, tout le monde danse et partout… Vraiment une ambiance extraordinaire. Juste ce qu’il nous fallait après un début de compet certes super sympa, mais quand même bien crevant.

Allez je vous laisse, je vais finir d’écouter la nouvelle défaite du PSG ;-) Ensuite il sera sans doute temps de repartir à la découverte de la ‘Noite do Rio !’ Je vous raconterai bien sûr…

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

vendredi 3 novembre 2006


Une victoire pour Samoun, une !


Oui, le Brésil c'est aussi le pays de la cellulite...


Non, malgré deux burgers enquillés au Maracana et quelques coups de soleil, c'est n'est pas encore moi...


Séb au Maracana

Allez les Bleus !

Ce vendredi marquait l’entrée en lice de notre très chère équipe de France sur la plage de Copacabana, à Rio. Et le moins que l’on puisse dire est que Canto et ses hommes sont en forme. Certes ils m’ont fait un peu peur durant le premier tiers-temps mais après… Une vraie leçon de beach soccer donnée aux champions d’Europe espagnols ! S’ils parviennent à conserver ce niveau, ils pourraient repartir avec une deuxième étoile sur le maillot…

En parlant d’étoile, nous sommes donc allés hier au Maracana pour voir ce match du championnat brésilos Botafogo – Internacional. Ambiance incroyable et hallucinante ! Si les 20 000 spectateurs présents au stade ferait rêver les dirigeants de l’AS Monaco – pour ne citer qu’eux – une telle affluence paraît vraiment ridicule dans un stade pareil. Forcément, ça laisse encore un peu plus de 80 000 sièges libres… Mais comme ces 20 000 font du bruit pour 200 000 Troyens, ça reste sacrément impressionnant. La chaire de poule m’en est venue, il faut bien l’admettre.

Alors attention ! Le supporter de foot est le même partout. Le vocabulaire du Brésilien se limite donc aux mêmes mots que celui du Français, de l’Allemand ou du Bahreïnis. Là-bas ça fait : « Filho da puuuutaaaaa !!! Porra !!!!!! » Bref ça ne vole pas bien haut mais c’est tellement drôle.

Malheureusement il nous a fallu quitter le stade avant la fin du match et nous avons manqué le clou du spectacle. Un penalty un peu généreusement accordé à l’Inter, les trois points qui partent du côté de Porto Alegre… et l’arbitre qui est agressé par les joueurs et dirigeants du Botafogo pour ce qu’ils estiment encore aujourd’hui comme une énorme erreur ! Ici c’est un peu comme ça pour tout, toujours dans l’exagération.

Tout ça pour dire que malgré ma fatigue assez importante, ce soir c’est vendredi et il est l’heure d’aller se préparer pour profiter de la nuit de Rio ;-) Au moins si je me couche à 5 heures complètement torché, je devrais arriver à ne pas me lever à 6 heures à cause du décalage…

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

jeudi 2 novembre 2006


Whaouuuuu...


Ohhhhhh...


Ahhhhhh...

C’est parti !

Et voilà, la Coupe du Monde de beach vient d’être lancée ce jeudi matin. Première journée assez intéressante et premières arabesques de mon joueur préféré, le Portugais Madjer. Pour ceux qui veulent les résultats, c'est ICI

Ok, j’imagine bien que ce n’est pas ce qui vous intéresse le plus dans ce sport alors y’en aura pour tous les goûts dans les photos ;-)

Bon c’est pas tout ça mais je dois filer. Ce soir c’est direction le Maracana pour un match du championnat brésilien : Botago – Internacional Porto Alegre. Viva Brasiouuuuuu !!!!!!

Baci, baci
Séb

Ps : Ich liebe Dich

mardi 31 octobre 2006

Copacabana ce matin...


à gauche le stade

Back to Rio… Finally !

Salut la compagnie,

Comme vous pouvez le comprendre aisément au sujet de ce post, me voilà de retour au Brésil et donc dans cette merveilleuse ville de Rio de Janeiro ! L’objet encore une fois est cette bonne vieille Coupe du monde de beach soccer.

Première journée, premiers (très chauds) rayons de soleil et toujours cette super ambiance bon enfant. En revanche le bureau aurait plutôt tendance à rappeler des souvenirs pas si lointains… Autant l’an dernier dans l’hôtel avec une grand baie vitrée et sa vue sur la mer, je dois bien avouer que c’était un pied monumental. Autant cette année c’est la tente offerte à tous les vents sur la plage !

J’ai comme un air de déjà vu… Ah oui : 7 semaines passées à Berlin et son splendide SMC… Et cette fois je n’ai même pas ma chérie pour me permettre de m’évader un peu :-( Au moins cette fois c’est le vrai été et il fait chaud dans cette tente… Tant pis, on fera avec et on prendra des pauses le plus souvent possible dehors, juste histoire de regarder la mer, la plage, le soleil ;-) Ok, je n’ai vraiment pas à me plaindre.

Mais bon j’en ai chié pour en arriver là. Départ programmé dimanche à 23 heures. Arrivée donc comme une fleur à l’aéroport pour croiser le regard d’un personnel d’Air France juste au moment d’embarquer : « Vous partez pour Rio ? – Oui ! – Et bien vous partez demain » Résultat c’est la première fois de ma vie que j’ai passé une nuit à l’hôtel aussi près de Paris.

Départ (le bon cette fois) prévu le lundi matin à 10 heures. Bien sûr nous ne sommes partis qu’à 11 heures et demi en raison cette fois « de la vérification des bagages d’une personne qui n’était pas montée dans l’avion ». J’avoue cette raison fait quand même un brin peur… Mais bon nous avons fini par partir, subir d’importantes turbulences (c’est bien simple au p’tit déj je n’ai même pas eu le temps de boire mon thé qu’il était déjà renversé dans mon plateau) et voler toute la journée. Impossible de dormir bien sûr mais au moins j’étais à Rio en un seul morceau ;-)

Ensuite c’est la traditionnelle arnaque en taxi pour pouvoir aller à l’hôtel. 700 reais soit l’équivalent de 260 euros ! Promis je ne mens pas…

Toujours est-il qu’après toutes ces péripéties, me voilà enfin installé dans cette ville qui ne doit pas être loin de la plus belle. Je vous enverrai quelques photos dès que possible. D’ici là je vous fais des poutoux tout plein et vous dis à très vite.

Baci, baci
Séb

ps : Ich liebe Dich !

vendredi 13 octobre 2006

C'est officiel, je suis un grand malade...


Faîtes bien attention à la date ;-)

Encore une claque...

Encore une fois, je vais avoir du mal à vous raconter les émotions que j'ai bien pu ressentir hier soir à la Maroquinerie...

Pour les dernières dates françaises de sa tournée, Cali avait en effet décidé d'investir ce tout petit lieu (500 personnes grand max) et de ranger les gros instruments pour ne garder que son pianiste, un tuba et un trompettiste. Alors j’avoue que dis comme ça, certains doivent imaginer que c’est super mou. Mais c’est très mal connaître l’énergumène perpignanais.

Et hier c’était la dernière des dernières. Résultat 2h30 d’un set à la fois endiablé et super intimiste. Une grande bouffée d’affection et une énorme claque dans la gueule. Car Cali est sans aucun doute le dernier artiste français a autant faire partager la reconnaissance qu’il a envers son public. Ses concerts, c’est comme gros sapin de Noël avec plein de cadeaux autour.

On n’a bien évidemment pas échappé au stage-diving puis au slam dans toute la salle sur ‘Elle m’a dit’, encore au moins à la ballade-embrassades sur ‘C’est quand le bonheur ?’… Bref, encore une superbe soirée que j’aurais aimé prolongé encore bien plus tard dans la nuit.

Je vous souhaite à toutes et tous d’avoir l’occasion de le voir un jour sur scène !

Baci, baci / Ich liebe Dich
Séb


13/10/2006 - La Maroquinerie


13/10/2006 - La Maroquinerie


13/10/2006 - La Maroquinerie

mercredi 11 octobre 2006

What a night-club !!!!

Voilà un post qui va sans doute en intéresser plus d’un. Je les entends déjà : ‘Un mardi soir… De quel night-club peut-il bien rentrer ?’ Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous laisser vous creuser la tête beaucoup plus longtemps.

En fait me voici de retour de la plus grande boîte de nuit dans laquelle j’ai pu un jour aller. De la folie ! Certes cela ne dure que deux heures mais rien que pour voir 18 000 personnes réunies et danser ensemble, ça vaut le détour. Et oui, 18 000 personnes dans un même lieu…

D’autant que le DJ est excellent. Malheureusement il ne vient pas souvent sur Paris, cela faisait même 15 ans qu’on ne l’avait plus vu. Allez, vous le connaissez forcément ! Il a 43 ans, est anglais d’origines grecques… Il a toujours eu une vie assez rock n’roll et n’a jamais hésité à en user… Mais si voyons !

LET’S GO OUTSIDE !!!! ;-)

Derniers indices pour ceux qui n’ont pas encore trouvé : Faith, I want your sex, Careless Whisper, Freedom, Freak!…

Ça y est, vous y êtes tous ?

Vive George Michael ! Il vient tout simplement de me scotcher sur place. Pour ses 25 ans de carrière, le crooner nous offre une tournée de toute beauté, un show extraordinaire. Alors forcément dans les tribunes ça prend assez vite. Dès qu’il apparaît sur scène tout le monde se lève, tape dans ses mains et se met à danser. Je n’avais JAMAIS vu ça !

Alors Bravo Monsieur et Merci encore Anne et Phiphi !

Baci, baci
Séb

Je vous laisse deviner ;-)


10 octobre 2006 - PO Paris-Bercy

Un show gigantesque !


10 octobre 2006 - PO Paris-Bercy

vendredi 6 octobre 2006


2 octobre 2006, PO Paris-Bercy

L'effet Placebo...

Un petit retour sur la toile pour vous conseiller à tous de vous rendre au concert de Placebo. Où que vous soyez, vous devez y aller !

Encore une fois, les trois gars (attention, les deux musiciens additionnels commenceraient presque à sortir de l'ombre !) sont extraordinaires de charisme et de puissance. Et ce n'est pas un Bercy plein à ras bord comme rarement qui dira le contraire. Etonnement certaines chansons sont jouées cette fois-ci un ton au-dessous par rapport à l’album, mais l’effet est excellent. Ok, y’a sans doute un plantage sur ‘Every you, every me’ mais on ne leur en voudra pas.

En revanche, comme Bercy lançait la tournée européenne, je ne vous en dirais pas plus pour préserver le suspense ;-)

Allez, la semaine prochaine c’est Cali à la Maroquinerie. Là aussi ça s’annonce chaud bouillant !

Baci
Séb

The fly boats


Couché de soleil parisien


"Amour et Psyché", Antonio Canova


Elle devrait mieux se raser Minnie...


mercredi 13 septembre 2006

Nouvelle vie !

Ça y est, me voilà enfin installé dans mon nouveau chez moi. Certes les travaux ont pris du temps mais quel résultat ! Je suis vraiment impressionné, bravo les gars !

Pour l’instant c’est forcément encore le bordel et j’ai du mal à réaliser, mais c’est déjà un plaisir énorme de s’affaler dans son canapé, dans son chez-soi. D’autant que Maike viendra dans une petite dizaine de jours me rejoindre et nous pourrons nous poser, enfin, ensemble…

Bon allez, c’est pas que j’m’ennuie mais j’ai des cartons à vider moi ;-)

La zebi