mercredi 26 octobre 2005

Dodo Grilou


Dodo Séb


Ça se voit vraiment qu'on a bu ?


Nawak Grilou 2


Nawak Séb 2


Nawak Grilou 1


Nawak Séb 1


Puis nous voilà en soirée Erasmus... et sa vodka-violette


On fait connaissance... Mon grand ami chnrodiste Francis...


Et c'est parti pour le contest : "Mètres de vodka-malabar"...


Ça commence gentiment dans un pub tout ce qu'il y a de plus classique


Le retour (2)

Et oui, une nouvelle fois je me suis laissé débordé par le temps et n’ai pas updaté mon blog depuis un bail… Je sais, très peu de personnes le lisent mais bon, quitte à en avoir un, autant donner des news dessus.

Alors me voilà pris d’une envie de changement. A quelques exceptions près, j’ai décidé désormais de faire court, mais souvent. Je ne me perdrai plus dans d’immenses textes, mais essaierai d’en mettre une petit peu, (presque) chaque jour. C’est aussi le principe d’un blog : ne pas forcément mettre les plus grands événements, les plus intéressants, mais bien le quotidien. Et mine de rien, c’est déjà pas mal !

En attendant, voici en quelques clichés comment une soirée lilloise avec mon bon Grilou peut assez mal tourner…

Replaçons la dans son contexte : énorme concert de Dream Theater, kebab assez dégueu englouti à l’arrache puis départ vers le quartier étudiant de Lille. Le reste se passe d’explications…

lundi 3 octobre 2005

La nuit blanche qui tourne au vert...

Si pour vous le premier samedi du mois d’octobre rime avec film diffusé en troisième partie de soirée sur une célèbre chaîne cryptée, c’est que vous n’habitez pas à Paris, que vous ne vous intéressez qu’à un certain type d’art, ou que vous n’avez pas de magnétoscope ;-) Pour les autres, et ce depuis trois ans, cela rime avec « La nuit blanche ». L’occasion de découvrir au beau milieu de Paris d’intéressantes (ou intrigantes) installations artistiques.

L’occasion aussi de se faire une balade nocturne entre amis. Quelques guiches ou tortilla (merci Saray !) avalées, quelques bouteilles vidées (trois à six : petit score). Et nous voilà partis pour Belleville et le parcours Ménilmontant – Point éphémère. Bref, tout autour de chez wam. Sauf que pour rejoindre Ménilmuch’, il nous fallait prendre le métro. Et c’est là que le blanc commence à tourner au vert…

Grand délinquant devant l’éternel, cette ptite tarlouze de Nico décide de ne pas payer. Merci la RATP : soir de grands rassemblements = contrôleurs. ‘Ah les encu… !’ Et voilà l’ami Nico bon pour 40 euros, le tout pour un ticket valable 2 heures. Sympa, ils ont laissé le choix entre cette formule ou le contrôle d’identité devant la police et une jolie facture de 275 euros… Enfin même à 40, tu as intérêt à aller loin. Un peu comme nous et nos trois stations.

Et là commence le parcours. Ça démarre pas trop mal avec un film, dont les personnages avançaient au rythme des chants et bruit du public. On aime ou on trouve ça con. Moi j’adore. Idem pour les tonnes de fripes rassemblées en haut de Jean-Pierre Timbaud (la rue, pas lui le pauvre) et utilisées pour un défilé de passants inconnus. Pas la peine de chercher à expliquer, l’art ça se vit ou non.

Petit détour par le quartier Saint-Marthe. Je suis au plus près de chez moi et je me sens bien. Et là c’est l’occasion de découvrir la meilleure (selon moi et je pense beaucoup d’autres) installation. ‘Julius Popp développe un dispositif technologique inédit par lequel une chute d’eau devient un écran liquide ; chaque goutte d’eau est un pixel qui tombe. On voit alors surgir textes et images par la magie des gouttes assemblées’. Oui je sais c’est bien écrit. C’est normal ça vient du livret de ‘La nuit blanche’. Pour ceux qui veulent en savoir plus : http://www.paris-art.com/artiste_detail-2332.html ou qui parlent allemand http://www.sphericalrobots.com/

Pour la petite histoire, il fallait passer sous l’eau pour continuer le parcours… Teubé que je suis, je suis passé à contre temps et me suis donc retrouvé bien mouillé. Coup de chapeau aux filles et à Looping qui sont parfaitement passés entre les gouttes. Je sais elle est facile mais je ne pouvais pas m’en empêcher.

Sur la place Saint-Marthe même, c’était le tournage d’un film de Nicolas Boone dont le principe est de ne faire jouer que des figurants. Le but n’est autre que de témoigner d’un événement, rien de plus. A voir en tout cas.

Ce qui n’est pas tout à fait le cas du reste… Hormis la promenade boulevard de la Villette où s’enchaînaient des noms, des titres de films, de livres, des événements… Sympa mais un peu court. En revanche la fin du parcours ne méritait même pas que l’on si attarde. Je n’ai même pas envie d’en parler tellement elle ma laissé un goût amer dans la bouche.

Et c’était le moment de se quitter, et pour la ptite tarlouze de se faire sa ptite nuit blanche à lui tout seul ;-) Impossible de trouver un bus pour rentrer à Boulogne, aucun taxi dispo et la jolie marche de Répu à Montparnasse… Oubli du rasage, trois tonnes de maquillage à l’antenne le lendemain matin… Bref, la bonne gueule ! Allez, sans rancune ;-)

Et vive ‘La nuit blanche’ ! Quoi qu’il ne faut pas se plaindre, on n’a pas pris de coup de poignard ;-)