Hola de Buenos Aires

Salut la compagnie,

Ça y est, me voilà enfin de l’autre côté de l’Atlantique, en Argentine et plus précisément à Buenos Aires chez l’ami Pollo. Quatre ans maintenant que le boulot m’a donné la chance de rencontrer ce gars en or, mais c’est la première fois que je réponds à ses multiples invitations.

Le départ était donc prévu pour dimanche en fin de matinée. Le voyage devait durer aux alentours de 17 heures. Je dis bien ‘devait’ puisqu’entre annulation de mon vol à Madrid, retard de son remplaçant, flemme du service d'immigration argentin, perte de ma valise, panne de l’ordinateur des réclamations... je suis sorti de l’aéroport de BA vers 3:00 (7:00 heure de Paris) du mat’ ! Grosse flippe pour le père Varsky qui m’a donc attendu près de 3 heures sans nouvelle... Aucune inquiétude pour mes caleçons en revanche, la valise est arrivée saine et sauve le lendemain ;-) Welcome to Argentina !

Mais passées ces petites péripéties qui finalement font la beauté de ces voyages, BA est une sorte de paradis sur terre. En tout cas ressemble à s’y méprendre au lieu idyllique que j’avais besoin de visiter en ce moment.

Première journée et premières sorties pour se rendre compte ô combien les femmes sont magnifiques, tout le monde est sympa, les voitures sont folles et l’ambiance tout autant. C’est l’Amsud et j’aime ça ! Tout semble plus facile ici. Le temps s’arrête et tu as vraiment l’impression de profiter de ta vie. C’est bien simple, il y a bien longtemps que je ne m’étais plus senti aussi bien en profitant tout simplement d’un couché de soleil. La vue depuis le balcon de chez Pollo est magnifique...

D’ailleurs je ne vais pas tarder à y retourner ;-) Après s’être fait péter le bide à grands coups de pancakes pour le déj, avoir refait le monde au bord de la piscine puis joggé (bande de buses) 40 mins, j’ai bien mérité une ptite sieste sur la terrasse non ?

Je vous embrasse donc toutes et tous et vous laisse méditer sur une pensée qui m’est venue dans l’avion : C'est le hasard de certaines rencontres qui les rend magiques et uniques... Non ?

Un abbrazzo
Séb